© 2018 par franchement, tu
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    Compagnie franchement, tu

    franchement, tu

    compagnie de théâtre contemporain

    direction artistique : Nicolas Kerszenbaum

    SPECTACLES

    SWANN S'INCLINA POLIMENT.

    DEFAITE DES MAÎTRES ET POSSESSEURS

    NOUVEAU HÉROS

    LE LAIT ET LE MIEL

    - 2014 -

    NOUVEAU HÉROS

    - 2013 -

    A L'INTÉRIEUR

    ET SOUS LA PEAU

    - 2012 -

    SODA

    - 2012 -

    LE RESPECT S'ÉTENDRA DEVANT NOUS COMME UN TAPIS DE VELOURS SUR LEQUEL NOUS MARCHERONS PIEDS NUS SANS NOUS BLESSER.

    - 2007 -

    DANS LA PRESSE - EXTRAITS

    SWANN S'INCLINA POLIMENT

    Dans une très belle atmosphère feutrée, sur fond d’orchidées et autres fleurs érotiques, "Swann s’inclina poliment" pose un regard théâtral bien intéressant sur l’oeuvre de Proust. L’adaptation, plutôt fidèle au texte, est fort réussie, mais au-delà du plaisir romanesque qu’il procure, ce spectacle offre une réflexion originale sur un des grands thèmes proustiens : le jeu social et la question (bourdieusienne avant l’heure), de la distinction.

    LEMONDE.FR

    Une mini-comédie musicale chic et triste qu’aurait pu signer Christophe Honoré. L’ensemble est foutraque, hétéroclite, moderne. Les acteurs chantent, dansent et jouent à la perfection.

    UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

    Nicolas Kerszenbaum ne dépoussière pas Du côté de chez Swann, qui n'en a pas besoin, mais il en avive les angles et en révèle certaines facettes. Une relecture audacieuse et passionnante du chef-d'oeuvre de Proust.

    S’emparant avec virtuosité et malice de l’œuvre féconde de Proust, Nicolas Kerszenbaum nous invite à une variation contemporaine et pop du premier volume de son roman monstre et signe une satire fascinante de cette comédie douce-amère qu’est la vie. Conquis par cette partition aigre-douce, cette petite comédie du monde si cher à Proust, à l’instar des protagonistes, on aimerait entendre encore longtemps cette petite sonate de Vinteuil, si belle, si cruelle, à mordre encore dans cette madeleine exquise, à se laisser avoir par ce pastiche si réussi de la vie. Bravo ! 

    Il y a là une belle tentative de retrouver un monde disparu. Un spectacle comme celui-là rappelle à chacun le droit aux larmes, à l’amour, à l’inutile.

    THÉÂTRORAMA

    Allez voir cette adaptation, où Proust n’a jamais été aussi gai et léger.

    LES 5 PIECES

    Quelle belle peinture du dépit amoureux : intelligence et finesse dans le jeu, nu merveilleusement amené, instants intenses apaisés par des plages musicales.

    LE SOUFFLEUR.NET

    THEATRAL MAGAZINE

    Une expérience qui interpelle et secoue, et qui, forte de ses riches dialogues et des justes jeux d’acteurs, réactualise les interrogations amoureuses qui jalonnent l’histoire des hommes : aimer ou être aimé ?

    UNTITLED MAGAZINE

    Si les rapports de classe, les ambitions, les transfuges sont observés et dépeints avec une pertinente vivacité, c’est dans les affaires du cœur que Swann s’inclina poliment touche au plus juste. Le besoin d’amour taraude tous les protagonistes. Swann s’inclina poliment est le requiem en mode mineur de nos illusions perdues.  

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    MEDIAPART

    Hybridant chair, verbe et musique, les comédiens dispensent efficacement cette partition atypique qui constitue une intelligente et passionnante déclinaison de l'oeuvre de Proust.

    ​FROGGY'S DELIGHT

    Modernisée, la prose proustienne nous parvient dans toute sa beauté et son intelligence.

     

    LA TERRASSE

    PIANOPANIER.COM

    Coup de coeur.

    THEATREONLINE.COM

    Cette production originale réussit son pari de nous embarquer dans un univers cohérent et finalement plus fidèle qu’il n’y paraît à l’œuvre originale.

    REGARTS.ORG

    Le spectacle nous ramène à l’essentiel : qu'il en va de la vie comme d’une sonate jouée au piano : une alternance de mouvements et de rythmes qui reviennent en boucle, laissant entrevoir que nos vies ne sont qu’une poussière dans un grand tout. A ne surtout pas manquer. 

    LE-CORYPHEE.COM

    NOUVEAU HEROS

    Simplicité et profondeur vont toujours de pair dans cette création où, sur un plateau quasi nu, un seul magnifique acteur, muni de poupées Barbie et de Playmobil, raconte grands mythes et petites histoires vraies. Jouissive subversion qui met la mythologie au service du documentaire, le héros musclé au service de la cause des femmes, et le théâtre au service du réel.

    JUDITH SIBONY, LEMONDE.FR

    Hercule, nouvelle figure du féminisme ? Original, drôle parfois, bouleversant. Et terriblement actuel, par un acteur redoutable de talent. Une écriture très actuelle, à la fois poétique et terriblement concrète. Une grande réussite.

    CHRYSTEL CHABERT,

    FRANCE TELEVISION CULTURE BOX

    Une très séduisante petite forme. Une interprétation sur le fil, à la fois drôle et émouvante.

    ERIC DEMEY,

    LA TERRASSE

    SODA

    Un rythme haletant, un mille-feuille d'histoires qui se croisent et s'entremêlent comme à la télévision, et pourtant SODA, c'est un retour à l'essence du théâtre : pas de vidéo, pas de profusion d'images, les mots et le corps des acteurs sont tout. (…) SODA ça pétille et ça rend addict. C'est du remue-théâtre. On rêve déjà d'une saison 2.

    DAVID BORNSTEIN, LE JOURNAL DE LA CULTURE, ARTE

    C’est peut-être dans ce qui se voit le moins que réside la plus grande réussite de ce mélange des genres : cinq ans de travail pour une intrigue qui n’emprunte que rarement des chemins balisés, qui brouille les identités sur fond de mélange des origines, de milieux sociaux et d’orientations sexuelles, et pulvérise une conception figée des territoires (…) Côté réception, l’effet de plaisir télévisuel est bien palpable. (…) Les promesses d’un tel format sont nombreuses, tout autant que celles levées par l’incontestable talent de la compagnie.

    ERIC DEMEY,

    MOUVEMENTS.NET

    SODA s’adresse tant à la stricte communauté théâtrale qui y reconnaîtra aisément les références des auteurs, mais aussi aux néophytes qui se gorgeront de plaisir face à ce genre ludique. (…) Le texte est d’une vivacité acide et le jeu des comédiens prouve que bientôt, SODA aura sa place dans la cour des grands.

    AMELIE BLAUSTEIN NIDDAM, TOUTELACULTURE.COM

     
     

    SPECTACLES

    EN CRÉATION

    DEUX VILLES

    FANTÔMES

    - 2018 -

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    D'AMOUR

    ET D'EAU FRAÎCHE

    - 2020 -

    AU RÉPERTOIRE

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    DEFAITE DES MAÎTRES ET POSSESSEURS

    - 2017 -

    SWANN S'INCLINA POLIMENT

    - 2017 -

    A PROPOS

    Le lait et le miel - crédit : Fanny Legros

    La compagnie franchement, tu a été fondée en 2005 par Nicolas Kerszenbaum.

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    Pourquoi

    franchement, tu ?

     

    En 2005, les blogs fleurissaient sur la toile ; de plus en plus d'inconnus ouvraient leur univers à qui voudrait les lire. Les commentaires se multipliaient au sein de ces blogs, et commençaient presque invariablement par la locution « franchement, tu » (suivi de « penses vraiment ça ? / es trop belle sur cette photo / me fais pitié », etc). D'où ce nom, franchement, tu, directement tiré d'un tic de langage numérique, permettant de parler d'un monde vécu à la première personne.

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    L'expérience vécue


    Le travail de franchement, tu naît d'expériences vécues, et en déroule des problématiques plus larges. Ainsi des spectacles sur Grisélidis Réal (Le respect...), Jeanne Favret-Saada (Être affecté) ; ainsi aussi des projets développés par Kerszenbaum autour de ses propres temps de vie (une traversée de la France en ligne droite et à pied en 2009 pour Tout droit ; l'arpentage à sac à dos de chemins alpins du 18ème siècle, deux livres de Rousseau à la main, pour A l'intérieur et sous la peau).

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    La fiction fantastique

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    Ces expériences réelles ne sont néanmoins pas citées telles quelles : elles prennent la forme de fictions, souvent fantastiques, où les morts côtoient les vivants. Ainsi, SODA (2012) proposait en huit épisodes et douze heures de spectacle un tableau de la France contemporaine, pleine de précaires, de secrétaires d'états, d'arbres qui parlent et de revenants. Le lait et le miel (2014), inspiré par les trois mois passés par Kerszenbaum en Israël et en Cisjordanie, fait se rencontrer vivants et fantômes du conflit israélo-palestinien. Nouveau héros (2013) adapte le mythe d'Hercule en passant par les témoignages sur le rapport au genre qu'entretiennent une quinzaine d'habitants de Sevran.

    Les prochains projets

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    De 2014 à 2019, Nicolas Kerszenbaum travaille à l'écriture de D'amour et d'eau fraîche, vaste fresque sur le capitalisme contemporain et ses avatars, à partir de 5 longs séjours en France et à l'étranger (USA, Thaïlande, Cuba, Afrique subsaharienne). L'histoire de la création d'un pays sans imposition pour riches expatriés au milieu de l''Afrique centrale, et l'écriture des récits nationaux sur lesquels sa présidence communique.

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    Parallèlement, en 2017, il adapte le roman d'anticipation de Vincent Message, Défaite des maîtres et possesseurs, et crée Swann s'inclina poliment, une variation autour d'Un amour de Swann de Marcel Proust.

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    En 2018, il crée avec l'auteur cubain Norge Espinosa Deux villes fantômes, une pièce bilingue sur les désirs de tourisme entre Paris et La Havane.

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    Pour les Tréteaux de France - CDN, en 2017, il écrit et met en scène Ping-Pong (ou de la vocation), une forme courte et légère, et collabore avec Robin Renucci pour le spectacle L'Enfance à l'oeuvre. En 2018, toujours pour les Tréteaux, il adapte Oblomov, de Gontcharov.

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    Les partenaires

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    franchement, tu est associée à la Manekine (Scène de pays d'Oise et d'Halatte, dans l'Oise), avec le soutien de la DRAC Hauts-de-France, de la région Hauts-de-France, du Conseil Départemental de l'Oise. Elle est également accompagnée par les Tréteaux de France - CDN.

    Nicolas Kerszenbaum

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    Diplômé d'un double cursus d'Economie (ESSEC) et d'Études Théâtrales (maîtrise et DEA mentions TB), il est assistant à la mise en scène de Peter Sellars, des Mabou Mines (New York), de Christian Von Treskow (Wuppertal), d'Irène Bonnaud, de La revue Eclair.

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    Metteur en scène et auteur, il fonde en 2005 la compagnie franchement, tu, avec laquelle il monte une quinzaine de spectacles, lectures, performances. Son écriture scénique se développe à partir de ses expériences propres (une traversée de la France à pied, une saison passée dans des kibboutzim en Israël, des entretiens sur le rapport au genre en Seine-Saint-Denis, ou encore des années à travailler sur une plateforme d'assistance téléphonique) ; il adapte également des textes non théâtraux, romanesques (Grisélidis Réal, Vincent Message), poétiques (Luc Boltanski, Bernard Noël) ou théoriques (Jeanne Favret-Saada). Toujours, il donne à voir des personnages et des fictions.

    Récemment, il a créé SODA – Soyons Oublieux des Désirs d'Autrui, une série théâtrale et musicale de 12 heures, jouée au TGP de St Denis et au Théâtre de l'Aquarium ; Le lait et le miel, autour de trois mois passés en Israël et en Cisjordanie (Festival Contre-courant à Avignon) ; Nouveau Héros, une relecture du mythe d'Hercule inspirée de témoignages sur le genre collectés à Sevran, et jouée 200 fois.

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    Il est lauréat 2015 de la Villa Médicis Hors les Murs de l'Institut Français pour son projet D'amour et d'eau fraîche. En 2016, il est lauréat d'Artcena - catégorie dramaturgies plurielles pour Swann s'inclina poliment. 

     

    A VENIR

    Swann s'inclina poliment :

    19 avril, 20h30, Théâtre de Châtillon

     

    Projet Pompéi :

    Dîner 6, 27 avril, 20h00, La Manekine

    ​

    Ateliers hebdomadaires autour de textes théâtraux contemporains tous les jeudis de 20h à 22h, animés par S. Baldassarra et N. Kerszenbaum à la Manekine, Pont-Sainte-Maxence

    Avril

    2019

    Mai

    Swann s'inclina poliment :

    7 mai, 20h45, Théâtre d'Herblay

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    Deux Villes Fantômes

    13, 14 et 15 mai, 21h00, Le Pré Saint Gervais

    ​

    Lecture publique par les amateurs de la Manekine d'Insupportables longues étreintes d'Ivan Viripaev : 10 mai, 19h00, La Manekine (Pont-Ste-Maxence)

    ​

    2019

     
     

    CONTACT

    Blandine Drouin - Bureau de production Les Indépendances - Paris

    Tel : 01 43 38 23 71  | www.lesindependances.com | production@lesindependances.com

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