ET PUIS S'ÉTEINT,
première partie de DEUX VILLES FANTÔMES

À Paris, pendant quinze ans, Daphné et Simon s’aiment, se séparent, se retrouvent, constatent qu'ils n'ont plus rien à se dire, fantasment toujours Cuba. Pourtant, quelque chose qui n’a pas de nom les tient enchevêtrés. 

Et puis s'éteint est une forme de quarante minutes, autonome, créée pour être la première partie d'un diptyque franco-cubain co-écrit avec Norge Espinosa, Deux villes fantômes.

Initialement pensé pour être joué dans des théâtres traditionnels au sein de ce diptyque (Coursive de La Rochelle, Maison de la Culture d’Amiens…), Et puis s’éteint se joue se représente aussi en forme plus intime, isolément, dans des chambres d'hôtel, pour une quinzaine de spectateurs.

texte et mise en scène : Nicolas Kerszenbaum. 
musique : Guillaume Léglise
avec : Pauline Ribat et Nicolas Gonzales

production compagnie franchement, tu

avec le soutien de l’Alliance Française de Cuba, l’Ambassade de France à Cuba, le Ministère de la Culture de Cuba, la Maison Maria Casarès, le Centre Intermondes de la Rochelle, la Coursive Scène Nationale La Rochelle, l’Institut Français à Paris et la Région Hauts-de-France.
Création réalisée dans le cadre des résidences de La Maison Maria Casarès, du programme Odyssée – ACCR, avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication.

les comédiens sur les photos sont Nicolas Martel et Marik Renner.
crédit photos : Jean-Charles Couty.

Dans un subtil jeu de ping-pong, les textes des deux auteurs se répondent et posent en filigrane cette question : quelle forme de voyage reste-t-il à faire aujourd’hui ? 

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